Resumiendo: hay que estar como una puta cabra para identificarse plenamente con ninguna patria o bandera. Todos estos himnos hablan de grandes fines, libertad, etc (bueno y otras cosas aberrantes: dioses...) pero ninguno se corta un pelo en emplear los medios que sean necesarios para coneguir esos fines... pero quien transige con los medios no tardará en transigir con los fines...
O say, can you see, by the dawn’s early light,
What so proudly we hailed at the twilight’s last gleaming,
Whose broad stripes and bright stars, through the perilous fight,
O’er the ramparts we watched, were so gallantly streaming?
And the rockets’ red glare, the bombs bursting in air,
Gave proof through the night that our flag was still there;
O say, does that star-spangled banner yet wave
O’er the land of the free and the home of the brave?
On the shore, dimly seen thro’ the mist of the deep,
Where the foe’s haughty host in dread silence reposes,
What is that which the breeze, o’er the towering steep,
As it fitfully blows, half conceals, half discloses?
Now it catches the gleam of the morning’s first beam,
In full glory reflected, now shines on the stream
’Tis the star-spangled banner. Oh! long may it wave
O’er the land of the free and the home of the brave!
And where is that band who so vauntingly swore
That the havoc of war and the battle’s confusion
A home and a country should leave us no more?
Their blood has washed out their foul footstep’s pollution.
No refuge could save the hireling and slave
From the terror of flight, or the gloom of the grave,
And the star-spangled banner in triumph doth wave
O’er the land of the free and the home of the brave.
Oh! thus be it ever, when freemen shall stand
Between their loved homes and the war’s desolation,
Blest with vict’ry and peace, may the Heav’n-rescued land
Praise the Pow’r that hath made and preserved us a nation!
Then conquer we must, when our cause it is just,
And this be our motto: "In God is our trust."
And the star-spangled banner in triumph shall wave
O’er the land of the free and the home of the brave.
I.
- Allons enfants de la Patrie,
- Le jour de gloire est arrivé !
- Contre nous de la tyrannie,
- L'étendard sanglant est levé, (bis)
- Entendez-vous dans nos campagnes
- Mugir ces féroces soldats ?
- Ils viennent jusque dans vos bras.
- Égorger vos fils, vos compagnes !
Refrain :
- Aux armes, citoyens,
- Formez vos bataillons,
- Marchons, marchons !
- Qu'un sang impur
- Abreuve nos sillons !
II.
- Que veut cette horde d'esclaves,
- De traîtres, de rois conjurés ?
- Pour qui ces ignobles entraves,
- Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
- Français, pour nous, ah ! quel outrage
- Quels transports il doit exciter !
- C'est nous qu'on ose méditer
- De rendre à l'antique esclavage !
(refrain)
III.
- Quoi ! des cohortes étrangères,
- Feraient la loi dans nos foyers !
- Quoi ! ces phalanges mercenaires
- Terrasseraient nos fils guerriers ! (bis)
- Grand Dieu ! par des mains enchaînées
- Nos fronts sous le joug se ploieraient
- De vils despotes deviendraient
- Les maîtres des destinées !
(refrain)
IV.
- Tremblez, tyrans et vous perfides
- L'opprobre de tous les partis,
- Tremblez ! vos projets parricides
- Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
- Tout est soldat pour vous combattre,
- S'ils tombent, nos jeunes héros,
- La France en produit de nouveaux,
- Contre vous tout prêts à se battre !
(refrain)
V
- Français, en guerriers magnanimes,
- Portez ou retenez vos coups !
- Épargnez ces tristes victimes,
- À regret s'armant contre nous. (bis)
- Mais ces despotes sanguinaires,
- Mais ces complices de Bouillé
- Tous ces tigres qui, sans pitié,
- Déchirent le sein de leur mère !
(refrain)
VI.
- Amour sacré de la Patrie
- Conduis, soutiens nos bras vengeurs
- Liberté, Liberté chérie,
- Combats avec tes défenseurs ! (bis)
- Sous nos drapeaux, que la victoire
- Accoure à tes mâles accents,
- Que tes ennemis expirants
- Voient ton triomphe et notre gloire !
(refrain)
VII. Couplet des enfants
- Nous entrerons dans la carrière
- Quand nos aînés n'y seront plus
- Nous y trouverons leur poussière
- Et la trace de leurs vertus (bis)
- Bien moins jaloux de leur survivre
- Que de partager leur cercueil
- Nous aurons le sublime orgueil
- De les venger ou de les suivre !
(refrain)
VIII. (Couplet supprimé par Servan, Ministre de la Guerre en 1792)
- Dieu de clémence et de justice
- Vois nos tyrans, juge nos coeurs
- Que ta bonté nous soit propice
- Défends-nous de ces oppresseurs
- Tu règnes au ciel et sur terre
- Et devant Toi, tout doit fléchir
- De ton bras, viens nous soutenir
- Toi, grand Dieu, maître du tonnerre.
(refrain)
Couplets supplémentaires
IX.
- Peuple français, connais ta gloire ;
- Couronné par l'Égalité,
- Quel triomphe, quelle victoire,
- D'avoir conquis la Liberté ! (bis)
- Le Dieu qui lance le tonnerre
- Et qui commande aux éléments,
- Pour exterminer les tyrans,
- Se sert de ton bras sur la terre.
(refrain)
X.
- Nous avons de la tyrannie
- Repoussé les derniers efforts ;
- De nos climats, elle est bannie ;
- Chez les Français les rois sont morts. (bis)
- Vive à jamais la République !
- Anathème à la royauté !
- Que ce refrain, partout porté,
- Brave des rois la politique.
(refrain)
XI.
- La France que l'Europe admire
- A reconquis la Liberté
- Et chaque citoyen respire
- Sous les lois de l'Égalité ; (bis)
- Un jour son image chérie
- S'étendra sur tout l'univers.
- Peuples, vous briserez vos fers
- Et vous aurez une Patrie !
(refrain)
XII.
- Foulant aux pieds les droits de l'Homme,
- Les soldatesques légions
- Des premiers habitants de Rome
- Asservirent les nations. (bis)
- Un projet plus grand et plus sage
- Nous engage dans les combats
- Et le Français n'arme son bras
- Que pour détruire l'esclavage.
(refrain)
XIII.
- Oui ! déjà d'insolents despotes
- Et la bande des émigrés
- Faisant la guerre aux Sans-Culottes
- Par nos armes sont altérés ; (bis)
- Vainement leur espoir se fonde
- Sur le fanatisme irrité,
- Le s
igne de la Liberté - Fera bientôt le tour du monde.
(refrain)
XIV.
- O vous ! que la gloire environne,
- Citoyens, illustres guerriers,
- Craignez, dans les champs de Bellone,
- Craignez de flétrir vos lauriers ! (bis)
- Aux noirs soupçons inaccessibles
- Envers vos chefs, vos généraux,
- Ne quittez jamais vos drapeaux,
- Et vous resterez invincibles.
(refrain)
XV.
- Enfants, que l'Honneur, la Patrie
- Fassent l'objet de tous nos vœux !
- Ayons toujours l'âme nourrie
- Des feux qu'ils inspirent tous deux. (bis)
- Soyons unis ! Tout est possible ;
- Nos vils ennemis tomberont,
- Alors les Français cesseront
- De chanter ce refrain terrible :
(refrain)
Serenos y alegres
valientes y osados
cantemos soldados
el himno a la lid.
De nuestros acentos
el orbe se admire
y en nosotros mire
los hijos del Cid.
Soldados la patria
nos llama a la lid,
juremos por ella
vencer, vencer o morir.
El mundo vio nunca
más noble osadía,
ni vio nunca un día
más grande el valor,
que aquel que, inflamados,
nos vimos del fuego
excitar a Riego
de Patria el amor.
Soldados la patria
nos llama a la lid,
juremos por ella
vencer, vencer o morir.
La trompa guerrera
sus ecos da al viento,
horror al sediento,
ya ruge el cañon
a Marte, sañudo,
la audacia provoca
y el ingenio invoca
de nuestra nación.
Soldados la patria
nos llama a la lid,
juremos por ella
vencer, vencer o morir.
Gernikako arbola
da bedeinkatua
Euskaldunen artean
guztiz maitatua.
Eman ta zabal zazu
munduan frutua
adoratzen zaitugu
arbola santua
Mila urte inguru da
esaten dutela
Jainkoan jarri zuela
Gernikako arbola.
Zaude bada zutikan
orain da denbora
eroritzen bazera
arras galdu gera
Ez zera eroriko
arbola maitea
baldin portatzen bada
Bizkaiko Juntia.
Laurok hartuko degu
pakian bizi dedin
euskaldun jendia.
Betiko bizi dedin
Jaunari eskatzeko
jarri gaitezen danok
laister belauniko.
Eta bihotzetikan
eskatu ezkero
arbola biziko da
orain eta gero.
Arbola botatzia
dutena pentsatu
denak badakigu.
Ea bada jendia
denbora orain degu
erori gabetanik
eduki behar degu.
Beti egongo zera
uda berrikoa
lore aintzinetako
mantxa gabekoa.
Erruki zaite bada
bihotz gurekoa
denbora galdu gabe
emanik frutua.
Arbolak erantzun du
kontuz bizitzeko
eta bihotzetikan
Jaunari eskatzeko,
gerrarik nahi ez degu
pakea betiko,
gure lege zuzenak
hemen maitatzeko.
Erregutu diogun
Jaungoiko Jaunari
pakea emateko
orain eta beti.
Baita indarra ere
zerorren lurrari
Euskal Herriari.